Souvent, il suffirait d'un signe pour trouver notre chemin.
Selma a réussi dans la vie, mais elle n'est pas heureuse. Placer le faire avant l'être l'a perdue. Un jour, dans un train, elle rencontre un homme paisible. Il lit Christian Bobin et, comme elle, adore Jean-Jacques Goldman. Il lui apprend que le bonheur est une valise légère et que la vie qu'on accueille apporte plus de joie que celle qu'on maîtrise. Ce roman invite à réfléchir à nos limites et nous conduit vers une vision plus sereine de la vie.