«Attention ! Le cas Paradot n'est pas politiquement correct. C'est
un roman réaliste. Il est réservé aux cadres et employés adultes qui n'ont
plus besoin d'illusions pour continuer à travailler dur», prévient l'auteur.
La passion de Paradot c'est le pouvoir. Pour le conquérir et le
conserver dans l'entreprise Burocos, il ne recule devant rien. Il exerce une
pression considérable sur le personnel en particulier les commerciaux. Il
restructure sans vergogne et licencie les plus de cinquante ans. Il promeut
aux plus hauts postes sa charmante assistante... Il écarte tous les hommes
de valeur qui pourraient être remarqués par le conseil d'administration. Face
à lui, le jeune et brillant Paul Mansion épaulé par Daniel Altman, un sage
proche de la retraite. Lequel sortira vainqueur d'une ultime bataille ? Paul
Mansion sacrifiera-t-il son ambition à sa passion pour Fulvia, une belle
quarteronne venue d'Argentine ?
Ce roman a pour cadre l'entreprise. Les hommes y sont bousculés
par les aléas qui agitent en permanence la vie des affaires : mauvaise
conjoncture, erreurs stratégiques, start-up ruineuse, fusion sans synergie.
Le recours à la fiction permet à l'auteur de dévoiler ce qui reste
tabou dans les ouvrages de management, la face cachée des entreprises : la
politique qui prime la gestion et l'interférence des liaisons amoureuses.
Des milliers de cadres et d'employés retrouveront des passages de
leur propre vécu dans ce récit réaliste. En se divertissant, ils pourront
parfois en tirer des enseignements inédits pour l'orientation de leur destin.