Qui donc n'aurait pas lu Le chat noir, demande Baudelaire ?
Un de ces textes qui le décideront à se faire le traducteur d'Edgar Poe, et ont assuré l'immense célébrité de l'Américain.
Célébrité évidememment due à l'impacable cheminement de la nouvelle vers sa fin horrifique.
Le cœur révélateur fait partie de ces histoires où Poe joue délibérément avec le crime, l'horreur, le macabre – et en rit, sardoniquement.
Dans Le masque de la mort rouge, on rit moins.
Mais des trois, on se souvient longtemps.