C'est toute l'horreur de la Première Guerre mondiale que l'on rencontre sur « Le chemin de Jean-Marie dans la Grande Guerre ».
A travers la correspondance qu'il a entretenue avec sa famille, on découvre le quotidien d'un jeune poilu pour qui « il fallait compter avec la chance ! ». Blessé trois fois, sauvé d'une balle par son portefeuille en cuir, il aurait pu participer au massacre des caporaux de Souain... à un numéro près !
Jean-Marie nous raconte la vie dans les tranchées, les marches, les combats, la peur, la mort toujours présentes... Sans commentaires inutiles, Daniel Courant nous livre ici le récit d'une vie qui aurait pu s'arrêter très tôt comme ce fut le cas pour des millions de jeunes Français. Mais, pour Jean-Marie, le destin en avait décidé autrement.