« Je fouille l'alpage des yeux... Ici où tant d'impudents se sont perdus, trahis par des chemins similaires et par l'étendue trompeuse, je ne suis plus la femme inutile qui pleure en cachette dans sa salle de bains. Ici, je suis la reine, et on me respecte. C'est pourquoi chaque samedi, chaque dimanche à la météo bienveillante, je m'y réfugie. Se soustraire au miroir. Ne plus sentir l'écoeurant parfum d'homme qui imprègne les draps de mon lit. »