Le cœur à tue-tête
« Albert Strickler a tenté, et réussi, l'impossible : mélanger le quotidien et l'universel, les événements extérieurs et les événements intimes.
Il raconte Tout : les hirondelles, le vélo, les étoiles, les douleurs, les haltes dans les gares, les retrouvailles avec les amis, les levers et les couchers de soleil, les livres, la musique... Tout y est pour notre plus grand bonheur.
C'est une vraie leçon de vie qu'il donne dans chacun des volumes de son Journal qui, je le prédis sans peine, passera à la postérité. » (Jean Chalon)
« La magie du Journal d'Albert Strickler opère année après année. L'émotion nous cueille à chaque page pour un indicible plaisir de lecture qui est le plus stimulant des viatiques. » (Nadine Doyen)
« Écrit selon une technique mixte où les aphorismes tutoient les poèmes, ce journal kaléidoscopique se contracte et projette comme des bouquets d'étoiles dans un souffle de ferveur créatrice. Autant de vagues de vie pour aviver encore et toujours l'émerveillement d'être - et d'avoir, à chaque mot, tout l'univers à exprimer ». (Michel Loetscher)
« Chaque année, Albert Strickler nous offre un coffret d'Aladin, un énorme livre où tout serait dit, exprimé, entrelacé, dissimulé, brodé, enfermé, à notre portée, sans aucune clé, comme immortalisé.
Le lecteur entre dans le coffre au trésor de plain-pied, il participe à cette « gloire » et à cette merveille de chaque instant, chaque jour...
Nous voici bombardés d'allégresse, la merveille gronde à chaque paragraphe.
« Une jubilation sans fin, une ode-fleuve à la lumière, à la vie, à la poésie, à la tendresse, à la « fraternité obscure »
Avec Strickler, le temps est comme enrichi... Cet homme-ci, en effet, améliore le temps. Ce qui n'est pas peu dire.
Une aventure sans équivalent dans la littérature francophone du siècle. » (Jean-Paul Klée)