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Publié pour la première fois en 1956, Le Dernier des Mohicans est la réponse de Bernard Frank à un article de Jean Cau, le secrétaire de Jean-Paul Sartre, paru dans la revue Les Temps Modernes. Cau avait violemment attaqué le dernier roman de Frank, Les Rats, où il était moqué ainsi que d'autres écrivains existentialistes. Plutôt qu'un assaut inconsidéré écrit dans la fureur, Frank préfère un essai où il se met lui-mème à la question, car au fond on ne répond jamais à personne. A la faveur de sa réplique, il passe au crible toute l'avant-garde littéraire de l'après-guerre, qu'elle soit de droite avec Michel Déon et Maurice Druon, ou de gauche avec Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre. Aucun n'échappe au jugement éclairé de celui que Charles Dantzig qualifie de très ancien petit garçon blessé par les vulgarités de la vie, et qui avait trouvé que le meilleur moyen de les parer est la littérature.