On pense en général que les harkis, ces Algériens intégrés à l’armée française pendant la guerre d’Algérie, ont soit réussi à s’enfuir en France, soit été massacrés au moment de l’indépendance. En réalité, la plupart d’entre eux n’ont pas été assassinés, et vivent en Algérie depuis un demi-siècle. Une vérité difficilement acceptable des deux côtés de la Méditerranée…