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Le Diable, évidemment... Le Diable a ses repères. Ce sont des repères de brigand. De brigand de velours, si l’on se fait complice de Pierre Peuchmaurd qui, du coin de l’œil, a tout vu. D’abord, Caroline aux yeux d’or, qui n’a pas perdu le nord. Il faut avoir quelque chose du vampire, pour ne pas craindre que l’on brise les miroirs, et pour épouser un boucher. Mais la plus sûre façon d’inventer, n’est-elle pas de chercher ce que l’on trouve ? Voici la Mavka, jeune sorcière, noire comme la poule. Elle aime surgir de derrière un rocher qui n’existe pas, quand il n’y a personne pour la voir. C’est aussi un édredon de sang et le lever du jour. Sa famille, c’est le Diable à quatre. La lumière des caveaux la fait rire. On peut lire l’avenir dans ses entrailles et ce que l’on y voit ne saurait s’oublier. Cerise du matin, chagrin. Quand on l’a (la cerise), c’est que la chance est allée voir ailleurs, de l’autre côté de l’horizon. Alors, la folie n’est pas loin. Cela donne à penser aux vautours. Elle règne en silence, avec un bruit d’enfer. Le temps des dernières cartes est venu, la terre est rouge... comme une cerise ! Le Diable, donc. Pas si méchant que cela, après tout. Malin, c’est certain. Ses bottes ne craquent pas, dit un proverbe anglais. Ce qui n’empêche pas Peuchmaurd de lui faire les poches. Peut-être ce livre aurait-il dû s’intituler "La main dans le sac" ?