— Je ne suis pas en peine de Roger, répétait souvent le vieux Philibert de Noirel ; il saura se débrouiller ; mais notre Jacqueline sera difficile à caser... Je voudrais pourtant bien la voir mariée avant de m’en aller dans l’autre monde !...
Il n’eut pas cette satisfaction ; la mort le prit dans sa soixante-cinquième année, en son château de Val-Dormant, où il laissa Rose-Jacqueline de Noirel, sa fille cadette, en passe de coiffer sainte Catherine.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.