Quand t'as 25 ans en 1940, que c'est la débandade dans tout le pays, et que pour seul horizon t'as la couleur de l'uniforme de l'occupant, pas facile de garder le moral.
Pourtant, j'ai connu un gars qui s'est pas laisse abattre. Un type solide, chauffeur routier, un sur qui tu pouvais compter.
Je sais plus comment il s'appelait.
Mais je me souviens qu'il avait un surnom...