Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
"La Marlotte se defendit comme une lionne. Elle essaya de se degager de la terrible etreinte du fils Beaudoin qui criait: - Ah! tu veux que j'aille au bagne! Eh bien, je n'irai pas pour rien, va! Le chien continuait a le mordre, tantot aux jambes, tantot aux mains. Le miserable repoussait le chien a coups de pied, mais ses mains crispees ne lachaient pas le cou de la Marlotte. La lutte fut horrible la victime parvint a se degager une minute, et elle mordit son bourreau. Mais le bourreau la reprit a la gorge et serra de plus belle. La Marlotte ne pouvait plus parler le chien, atteint d'un coup de pied a la tete, s'affaissa sur le sol et ne revint plus a la charge. Tout a coup, enfin, la Marlotte roula des yeux hagards, sa langue sortit de sa bouche longue d'un demi-pied, son corps cessa de se roidir. Elle ne se debattit plus, elle ne lutta plus? Et comme le fils Beaudoin, ahuri, desserrait les mains, elle s'affaissa sur le carreau de la chambre. La Marlotte etait morte?"