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Le penseur du dimanche, qu’André Gillois définit comme le fou du roi, n’est pas une variété littéraire du peintre du dimanche, mais un trublion, un empêcheur de penser en rond. À 96 ans, André Gillois, caustique et tendre, interroge notre société. Ce long regard en arrière qui, du Second Empire finissant à aujourd’hui, embrasse régimes et institutions, crises et conflits, mirages et mensonges, mêle les époques et les hommes. Sautant de Sartre à Pierre Dac, de Briand à Clemenceau, d’Herriot à de Gaulle, l’auteur rappelle à quel point la fin du XIXe siècle ressemble à notre époque. Illusions et vanités, lâcheté et opportunisme mènent toujours le monde. Bourgeois et Français moyens jouent toujours le même jeu, et il ne reste à l’homme libre d’autre place que l’impertinence et la dérision. « Est-ce le temps de rire ? » demandait Voltaire. Oui, répond André Gillois, de tout et sans cesse, pour mieux dénoncer l’hypocrisie et mettre bas les masques. Une promenade vivifiante dans la politique et l’histoire au quotidien, où les situations cocasses renvoient aux descriptions incisives et aux jugements aigres-doux : « une petite histoire de notre décadence », pour tous ceux qui savent goûter « la gaieté de l’indignation ».