Alors que M. DUPONT vient de clore sa précédente enquête, il reçoit de la part d’une « Madame Annie » des messages insistants... à ce point insistants et répétés, qu’ils finissent par l’intriguer.
L’empressement de l’épistolière est amplement justifié par le fait que son mari, prêteur sur gages de profession, a été accusé injustement de meurtre et qu’il est condamné à être pendu dans les jours prochains.
M. DUPONT rencontre l’usurier dans sa cellule. Il constate que l’homme est incontestablement antipathique et qu’il semble cacher des informations. Pour autant, le flair du détective lui laisse penser que le « fesse-mathieu » est innocent et que la Justice doit primer sur la Morale.