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On doit à la France l’agence de presse, le télégraphe, le cinématographe et l’aéroplane, mais aussi l’invention de la coupure de presse ! En 1879, quand la République s’affirme, un libraire-éditeur de génie, Alfred Chérié, a l’idée de faire parvenir, d’abord aux artistes puis à toutes les « célébrités », les extraits de presse les concernant, soigneusement lus, découpés et collés… Ses premiers clients s’appellent Boulanger, Hector Malot ou Paul Gauguin… l’Argus de la presse est né ! Auguste de Chambure, jeune aristocrate bourguignon, va porter l’entreprise vers la notoriété et en faire une institution. Hommes politiques, écrivains, journalistes, artistes, mondains, mais aussi sociétés commerciales et industrielles… se « mettent à l’Argus ». Très vite l’Argus de la Presse devient un instrument indispensable de contrôle de l’information écrite, un miroir brûlant pour certains, comme la fameuse Mata Hari, une source d’inspiration pour les collages des peintres cubistes et des surréalistes. Aujourd’hui, l’Argus de la presse est une entreprise moderne. L’écran des ordinateurs a remplacé les « bibles » papier d’antan. La vague de la communication tous azimuts est là. Un nouveau continent s’ouvre, l’Internet, tant par son instantanéité que par ce « cyber monde » inattendu qu’il s’agit désormais d’observer. « Vieille » idée du XIXe siècle, du temps de la photographie, du télégraphe et de la presse écrite, l’Argus entre sans façon dans le XXIe siècle, avec ses mille yeux, de plus en plus numériques…