Une femme meurt. Une enquête est ouverte.
On parle de mort violente. On relève des traces, des empreintes. On réunit des preuves, des témoignages, des objets, des notes.
On établit un emploi du temps. Ca tient debout. Ca a un air de ressemblance. C'est la vérité. C'est le délire. C'est la mémoire.
Tout compte fait il reste le hasard, la fragilité, le désir de mort, le désir de meurtre.