[...] « Nature immense, mère éternelle, à toi nos coeurs, nos chants joyeux. Divin reflet, ta beauté nous rappelle le Dieu puissant qui règne aux cieux. » C'est ce qu'on peut lire en palimpseste sur la petite partition manuscrite Hymne à la nature sur laquelle Jean- Luc a dessiné un bestiau par la bouche duquel sortent 482 petites boules claires et dont le corps est rempli de 986 petites boules plus foncées. J'en viens à chercher les divins reflets d'une nature qui engendre sans cesse, qui renaît constamment. [...]
K.L.