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Le travail en friche n’est ni « la fin du travail », ni même la rareté du travail. Il est le travail d’aujourd’hui, un travail qui ne fonctionne plus dans sa pratique ni même dans son principe comme unificateur social. Cette idée très abstraite, et essentielle pour la compréhension des bouleversements profonds du lien social, est remarquablement présentée et analysée dans ce livre à partir des récits, très vivants, de jeunes en situation précaire. On y voit comment s’enchevêtre, dans la ville d’aujourd’hui, une diversité d’économies qui font apparaître ce que l’auteur appelle les mondes de la « petite » production urbaine. La sociologie de ces mondes ici présentée - une approche en termes d’économie, d’espaces et de cultures - permet de penser les porosités, les imperméabilités, entre les différents mondes de la production mais aussi la difficulté des acteurs à percevoir, et à se raconter leurs places et leurs trajets. Premier boulot ? Petits boulots ? Début d’une ascension professionnelle possible ? Dérive vers l’exclusion ? Ainsi, au-delà du travail en soi, ou de son absence, c’est plus largement la question des mondes sociaux eux-mêmes qui est posée ; et la possibilité offerte aux acteurs de se saisir, ou non, de leur propre destin. Cet essai renouvelle ainsi fortement la réflexion sur la notion même du travail par une mise en abîme du réel et du rôle socialisateur perdu du travail.