Au petit matin, un inconnu est retrouvé mort, la gorge tranchée, dans la salle d’attente de la gare de Coudounan. Aucun moyen de l’identifier, car ses papiers lui ont été volés et son seul signe distinctif est un trèfle tatoué sur sa poitrine.
La police pense immédiatement à un crime crapuleux, mais, devant le peu d’indices, désespère de trouver le meurtrier.
Lors de l’autopsie de la victime, le médecin est intrigué par le tatouage pour l’avoir déjà remarqué sur le torse de l’un de ses patients. Pourtant, il se convainc que ce n’est là que coïncidence.
Mais, bien vite, un accidenté de la route ensanglanté lui est amené et, alors qu’il l’ausculte, le docteur dévoile le dessin de la même plante herbacée aperçue, précédemment, à deux reprises.
Un troisième trèfle, en quelques jours, voilà qui ne peut plus être une coïncidence... !