Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Ein literaturwissenschaftlicher Essay über das Verhältnis des Menschen zu seinen Dingen. Dorothee Kimmich geht von dem doppelten Befund aus, dass die Moderne den Dingen "das Leben nimmt", indem sie natur- und kulturwissenschaftlich erklärt und objektiviert. Diesen "Tod" stellen die moderne Literatur, bildende Kunst und Photographie jedoch umgekehrt dadurch in Frage, dass sie diesen Dingen ein Eigenleben zugestehen, das hermeneutisch gerade nicht mehr zu fassen ist: Dinge bedeuten nicht mehr, und der Mensch muss sich die Welt fortan mit ihnen teilen. Erst seitdem vor 20 Jahren die Ethnologie die Philosophie als literaturwissenschaftliche Leitdisziplin abgelöst hat, kann die "material culture", das Leben der Dinge, entdeckt und erforscht werden. So zeigen denn auch Kimmichs Lektüren mit einem anthropologischen Blick auf, dass der moderne Mensch nicht nur angehalten ist, das Eigene ins Verhältnis zum Fremden zu setzen, sondern sein Umgang mit den Dingen auch exemplarisch für den Umgang mit dem Fremden steht: ein grundlegendes ethisches Unterfangen also. Im ersten Teil ihres Essays ("Thesen") erläutert die Autorin, warum Dinge dem Menschen nicht nur fremd, sondern auch ähnlich sind. Die Lebendigkeit der Dinge, wie sie uns in modernen Texten begegnet, wird unterschätzt, wenn man sie nur als Wiederbearbeitung historischer Motive begreift. Im zweiten Teil ("Texte") zeigt uns Dorothee Kimmich, wie man mit Siegfried Kracauer im "Niemandsland der Dinge" überlebt, wendet sich der "Rückseite der Spule" bei Walter Benjamin zu, und erklärt, "warum sich bei Lord Chandos, Malte Laurids Brigge und dem Zögling Törleß alles um die Dinge dreht". Überlegungen zu "Charlie Chaplins Komplizen" und der "Seife von Francis Ponge" beschließen das Buch.