L’ENSEIGNE était-elle une propriété exclusive ; l’enseigne était-elle inféodée à la maison, inaliénable, inséparable de la pierre ; l’enseigne était-elle soumise à des règlements de police, de voirie, ou n’avait-elle pour toute règle que le bon plaisir, la fantaisie de celui qui s’en servait au gré de ses besoins ?
Questions intéressantes, rentrant également dans l’ancien droit public et fort simples à élucider, quoiqu’on ait sans cesse parlé de l’absence de toute législation en cette matière spéciale.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.