Quand l'intime se mêle au politique ou au pouvoir médiatique : sept portraits de femmes blondes audacieuses, puissantes, parfois sombres, qui font démentir tous les préjugés imbéciles attachés à la blondeur.
Dans ce deuxième livre, Agnès Grossmann s'intéresse aux femmes blondes et célèbres.
Pourquoi ? De tout temps, la blondeur a été synonyme de beauté et de noblesse, mais aussi de fragilité, de faiblesse de caractère, voire de bêtise. On ne pouvait pas être belle et intelligente à la fois.
Pour aller au-delà des préjugés, comme elle l'avait fait dans Les Salopes de l'histoire, Agnès Grossmann nous raconte les destions hors normes, souvent scandaleux, toujours passionnants de sept grandes figures féminines, sept blondes qui appartiennent chacune à l'une des représentations de la blondeur.
Elle nous entraîne sur le mont Olympe en compagnie de la déesse de l'amour Aphrodite (la déesse), aux côtés de Jeanne d'Arc (la sainte) à la tête d'une armée de douze mille hommes pour aller délivrer Orléans, dans les studios d'Hollywood avec la jeune Grace Kelly (la blonde hitchcockienne) qui découvre l'univers angoissant du maître du suspense, et aussi, afin d'illustrer le côté obscur du pouvoir, nous suivrons Magda Goebbels (la blonde aryenne) dans sa folie meurtrière qui l'a poussée à assassiner ses six enfants dans le bunker d'Hitler lors de la chute du troisième reich.