Les déferlantes
« La première fois que j'ai vu Lambert, c'était le jour de la grande tempête. Le ciel était noir, très bas, ça cognait déjà fort au large. Il était arrivé un peu après moi et il s'était assis en terrasse, une table en plein vent. Avec le soleil en face, il grimaçait, on aurait dit qu'il pleurait. »
C'est à La Hague - un bout du monde à la pointe du Cotentin - que la narratrice est venue se réfugier. Elle arpente les landes, observe les oiseaux migrateurs... et Lambert, homme mystérieux et tourmenté aperçu un jour de tempête, et qui n'a cessé depuis lors d'éveiller sa curiosité.
« Claudie Gallay excelle à créer des atmosphères enfermant lecteur et personnages dans des secrets bousculés à coups de phrases courtes. » ¤ Le Magazine Littéraire
« C'est le roman qu'il faut emporter en vacances... On ne peut le lire que d'une traite. » ¤ Le Monde