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Hier : Caillaux. Aujourd’hui : Giscard d’Estaing, Rocard et d’autres inspecteurs des Finances au premier plan de la politique. Comment quelques poignées de fonctionnaires proches des ministres, chargés de faire « la police générale » d’une administration qui était, au XIXe siècle, en transition entre la fonction publique d’Ancien régime réglée par la vénalité et la protection, et celle d’un État Moderne, stable et réglementée, sont-ils, entre 1850 et 1914, devenus le symbole même d’une « Élite » organisée et efficace ? Au point d’être demandés par les grandes sociétés privées en quête de dirigeants, par les politiciens parlementaires en mal d’experts, par des ministères « techniques » dépensiers mais sous-équipés. Dans cette spectaculaire évolution, nul « complot » de groupe cimenté à l’image d’une secte ou d’une confrérie mais une grande influence des études (l’inspection fut le premier Corps civil à recruter par concours), et, plus largement, la dynamique des besoins d’un pays sous-équipé en personnel qualifié de haut niveau. Face aux incessantes luttes civiles et politiques, le service public put paraître comme un modèle d’Ordre, de Régularité, de Pérennité