À la fin du XVIIIe siècle, Aix-en-Provence passa de la splendeur d'une capitale de province à l'anéantissement. Toutefois, malgré les violences révolutionnaires, l'écrin architectural demeura Intact. Cet effondrement sans chute permet aujourd'hui de contempler les paysages baroques d'une bourgade dont la vie aristocratique s'est retirée.
Cet ouvrage invite à déambuler en images à travers les ruelles d'une cité morte afin de saisir la singularité de ses paysages. Au nord, la vieille ville partagée, structurée par la cathédrale ; au sud, le quartier nouveau loti par le cardinal Mazarin. Quant au palais comtal, clef de la puissance politique, il a été englouti.