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Faut-il dire d'un personnage qu'on invente " il ", " je ", " tu " ou " vous " ? Faut-il mettre une intrigue au présent, au passé ou au futur ? Tous les possibles sont devenus vrais, et toutes les optiques sont désormais défendables. Ils dépendent de l'humeur et du besoin de remplacer un choix par un autre choix : point d'éclectisme, mais les richesses les plus variées et les plus contradictoires de l'intériorité.
Le drame que nous conte Alain Bosquet est un drame où le choix - comme l'entendait Albert Camus - devient monstrueux, et où il convient de le refuser. À Londres, en février 1944, le lieutenant Lucien Viriot, qui travaille au G.Q.G., est appelé à préparer un raid de la R.A.F. sur Rouen, sa ville natale. On lui laisse un peu de temps et il s'acquitte de sa tâche avec conscience, jusqu'au moment où les scrupules s'emparent de lui : il ne peut supporter l'idée qu'il lui faille détruire la maison de sa mère plutôt que le lycée où il fit ses études, telle rue de préférence à telle autre. Et il se révolte contre une si atroce responsabilité.
De tous les romans d'Alain Bosquet, Les petites éternités est le plus inattendu, le plus humain, le plus poétique, le plus profondément convaincant.