Les restaurants comme les cafés m'ont toujours semblé l'un des éléments essentiels d'une ville. Plus, du moins autant pour ne choquer personne, que musées, églises et monuments en tout genre. C'est ce qui nous permet d'en supporter la tension, les cruautés quotidiennes. Une ville sans bistrots, c'est une ville sans rencontres.
B. F.
J'ai dû connaître Michel Sarazin quand il s'occupait de la rédaction du Journal du Dimanche. Enfin, à ce moment-là, je lisais ce journal. C'était un homme charmant. Il l'est resté. Gai, attentif. Je ne sais pas comment il est devenu le rédacteur en chef de la revue Urbanismes. Il faudra que je lui demande. Il m'en confia l'éditorial. Ce que ça a donné, vous le lirez ici. Je parlais surtout de mes déménagements. Nous en avions pour des années. Urbanismes dut montrer quelques signes d'impatience et j'entraînai Michel dans mes déménagements. Il faut que je l'appelle. Ça fait longtemps que je lui ai promis de l'amener dîner dans mon chinois. La Chine, ça ne bouge pas.
B. F.