Les sept guerrières du clan Hori
poursuivent leur vengeance. Parvenues
sur les terres du cruel seigneur d'Aizu,
elles disparaissent dans la blancheur de la
neige, réapparaissent sous le déguisement
de moines pèlerins, et rivalisent d'audace
et de ruse pour affronter des ennemis aux
armes redoutables et magiques, comme
l'écho de rêve ou le filet de brume.
Leurs alliés ? Un maître de sabre aussi vif
et furtif qu'une ombre, et un vieux maître
de sagesse zen dont les facéties peuvent se
révéler plus dangereuses que le fil d'une
lame.
La grande jouissance de ce roman
d'aventures est évidemment, outre la
maestria des combats, l'ironie sagace
exercée en permanence par Yamada
aux dépens de son récit, ce qui a pour
effet paradoxal, on le sait, de rendre le
lecteur plus accro encore. (Eric Loret,
Libération.)
Ce volume est la suite et fin
des Sept Lances d'Aizu.