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Les sutures se veut une tentative de capter les dernières lueurs d’un monde au bord du gouffre. On y perçoit d’abord le monologue d’une femme qui s’efforce de livrer avec transparence et délicatesse chacune de ses désillusions et de ses angoisses. En émanent des notes d’atelier, le journal d’une peintre qui s’évertue à dissoudre ses affects dans des paysages énigmatiques et obsédants. Peu à peu, les frontières entre la poésie et la peinture s’amenuisent, s’assemblent dans une seule et même épreuve, ce qui lui permet de transposer son regard sur une société malade où les catastrophes se perçoivent à échelle humaine : désastre écologique, perte de sens, éclatement du lien social. L’artiste et la poète en viennent à évoquer un avenir où l’humain est relégué au second plan et doit laisser place à une nature qui se déchaîne et se rebelle : « pour ne plus feindre l’activité cardiaque nous attendons d’expirer des forêts une partie de ses morts ».