Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Ces « Lettres vénissianes » sont parues dans les pages du Progrès-Dimanche, entre 1985 et 1988. Son auteur, René Forestier, les signait de ses deux prénoms, René Vincent. Il est de ceux qui pensent que la connaissance d’une ville passe par la mémoire. Donc par celle des hommes qui l’ont faite, l’ont nourrie de leur travail, de leur vie, de leur espoir, de leur folie aussi. Mais il est aussi de ceux qui pensent, comme Joseph Joubert, que l’histoire est bonne à oublier, c’est pour cela qu’elle est bonne à savoir. Il est de ceux qui pensent qu’il faut s’étonner des enfants qui grandissent, des petits-enfants qui viennent au monde, des arbres qui poussent… Il est de ceux qui pensent qu’il est bien de ne pas toucher à mon pote, mais aussi de ne pas toucher à ceux qui ne sont pas mon pote. Il est de ceux qui ravivent les émotions. Excusez-moi de m’être laissée épancher si longuement sur « mes souvenirs », mais c’est de votre faute ; vous êtes si près de nous… lui fait remarquer une lectrice à la fin d’un très long courrier.