Conçues en miroir, L'homme libre et Printemps forment un diptyque sur l'âge de l'adolescence : ses amours, à travers celles de Gus puis de Nadja, son homologue féminin, leur rage débordante et leur puissante fragilité. Ces deux pièces révèlent la fantaisie poétique de leur langue et cette inouïe liberté de dire quand agir ne sert plus.