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Auf so ironische wie unterhaltsame Weise lockt Tom Schulz in "Liebe die Stare" seine Leser, mit ihm gemeinsam in das Provinzielle der Großstadt, das Großstädtische der Provinz einzutauchen, einen Blick auf die Kleinigkeiten unseres Lebens sowie auf die Erinnerung eines überholten, aber nicht eingeholten Alltags zu werfen. Mit Anteilnahme und präzisem poetischem Blick für Schärfenstrukturen ist Tom Schulz' Prosa geschrieben. Von Erzählungen bis hin zu fragmentarischen Phantasieausflügen sind in seiner ersten Prosasammlung Texte enthalten, die den Leser so sehr verzaubern wie verstören:Im leichten Trab kann man Nordische Geher beobachten, die im Zwiegespräch mit dem Hund Klopfzeichen aus dem Leben der Postkästen hervorbringen. In den Akeleien erspäht man neben den Staren Augusttierchen, die sich mit schwäbischem Kochen vor den Hagelkörnern der Waldeinsamkeit schützen. Das Gefühl des Unendlichen am östlichen Ufer des Victoria-Nyanza-Sees wird mit den Leiden des Herrn Kurz auf einen Dienstag vor der Zeit verschoben. Das alles geschieht. Und in Istanbul erfährt ein nackter Mann mit Tasche durch Reihungen einer Babuschka von seiner vorzeitigen Berentung.