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Ça n’a pas été une petite affaire pour Paul Ballanche, collégien à Saint-Jean-les-Touilleurs, d’entrer dans la Résistance à l’insu de ses parents. Il sera un des soixante hommes appelés à « camper » dans la forêt de Saint-Friard, ce qui le rapprochera de sa cousine Désirée, pulpeuse vedette des actualités cinématographiques, parce qu’à la place de son mari prisonnier, elle fait ronfler la forge pour ferrer les chevaux. La Gazette — tel sera finalement son nom de guerre — cultive deux ambitions au maquis : la conquête de la gloire et celle de « la » Désirée. Il se laissera plutôt conquérir par la seconde, tandis que la première s’obstinera à lui poser des lapins. Chronique picaresque d’un maquis plus porté à soigner ses menus qu’à utiliser sa puissance de feu, du reste longtemps inexistante, mais d’un maquis authentique. La vie quotidienne — minutieusement rendue — d’une clairière vouée, durant l’été 1944, à l’épopée, est animée par des personnages créateurs d’événements qui, si insolites soient-ils, se réclament de la réalité historique la plus pure. Jean Vartier les a rencontrés, au fil d’une longue enquête, dans deux provinces de l’Est. Ils se reconnaîtront et seront reconnus, même si les pistes qui mènent de la représentation au modèle ont été un peu brouillées. En tout cas, jamais n’avaient été percés avec autant d’acuité et de mépris des idées reçues, les grands et les petits secrets de ces communautés d’hommes du fond des bois. Jamais les curiosités n’avaient été poussées aussi loin dans le domaine de « l’envers de l’épopée » vieille de cinquante ans. Ceci pour aboutir au plus décapant des « comme si vous y étiez », servi dans une langue pleine de vivacité et d’humour.