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L’inconnue de la Seine, personnage aussi captivant qu’énigmatique, serait une jeune femme retrouvée noyée en 1901. Sa beauté fascinante lui valut l’honneur d’un masque mortuaire en plâtre, reproduit à des milliers d’exemplaires et aujourd’hui toujours disponible. Vraie noyée, ou faux fabriqué par un mouleur astucieux à partir d’un modèle vivant ? Autour de celle que l’on appela aussi la vierge du canal de l’Ourcq, car même le lieu de la découverte reste mystérieux, s’est édifiée une légende romantique qui n’a cessé d’inspirer poètes et écrivains, de Maurice Blanchot à Céline, de Jules Supervielle à Nabokov et d’Anaïs Nin à Rilke. Dans la vision romanesque de Didier Blonde, le narrateur, marqué par un deuil récent, mène l’enquête sur ce moulage dans lequel il croît reconnaître le visage d’une femme qu’il a aimée. Enquête qui va le promener dans le Paris de l’époque, dans son obsession de retrouver le personnage réel derrière la figure anonyme. Car la clé de l’énigme se cache-t elle dans les registres de la morgue conservés aux archives de la police, ou dans des textes méconnus recueillis par la Bibliothèque Nationale, rue de Richelieu ? C’est là, en tout cas, qu’il va rencontrer une jeune universitaire, bien vivante, elle; dont l’image va progressivement s’imposer dans l’esprit du narrateur en lieu et place de celle qu’Aragon appelait la Joconde du suicide.