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Francis Bacon : « On ne sait pourquoi certaines choses vous touchent. C’est vrai, j’adore les rouges, les bleus, les jaunes, les gras. Nous sommes de la viande, n’est-ce pas ? Quand je vais chez le boucher, je trouve toujours surprenant de ne pas être là, à la place des morceaux de viande. Et puis il y a un vers d’Eschyle qui hante mon esprit : “L’odeur du sang humain ne me quitte pas des yeux.” » « Francis Bacon, plus que tout autre artiste, incarnait la peinture. Mon travail de journaliste d’art, à L’Express, dans les années 1980, me permit d’envisager une rencontre avec lui. Je patientai longtemps avant notre premier rendez-vous. Trois ans. D’autres suivront. Je le rencontrai à Londres dans son atelier, 7 Reece Mews, South Kensington. Mon premier entretien, en 1982, donna lieu, peu à peu, au fil des ans, à des conversations et dialogues qui se sont poursuivis à Londres et à Paris. Ceux-ci se déroulaient en français, langue qu’il maîtrisait avec la rouerie d’un vieux dialecticien. Elles rassemblent la plupart des grands thèmes que Francis Bacon, opiniâtre, n’a cessé de ressasser sa vie durant : son travail, Picasso, Velasquez, Giacometti, ses amitiés, ses voyages, ses lectures, l’alcool… Parler l’amusait. Parler l’excitait. Parler était aussi un art pour lui. » F. M.