L'oeuvre de mort
L'oeuvre de mort est un roman très imprégné de l'esprit fin-de-siècle, de l'esthétique de la décadence, construit autour d'un personnage entièrement centré sur lui-même et parfaitement amoral.
Dans ce roman de 1885, aujourd'hui oublié, Maurice Leblanc mit beaucoup de lui-même, de son parcours de jeune provincial arrivé à Paris, de ses voyages en Europe.
Dans la ligne de Une femme, Des Couples et de la publication de l'édition originale de L'Aiguille creuse, les éditions des Falaises poursuivent l'exhumation de l'oeuvre « prélupinienne » de Maurice Leblanc.
Une préface de Jacques Derouard éclaire l'ouvrage en le replaçant dans l'oeuvre de Maurice Leblanc et dans le XIXe siècle finissant.