Les Éditions Méridianes rassemblent ici - pour la première fois - les quatre textes que Paul Valéry consacra à la culture chinoise, du Yalou de 1885 à la Préface de l'Exposition de la peinture chinoise de 1933 à Paris.
Entre eux se dessine une orientation de l'oeuvre, jusque-ici sous-estimée, qui permet d'entendre autrement la pensée qui la nourrit et l'esthétique qui l'organise.
Deux figures de cette relation à « l'Orient » émergent : celle, que l'on croit connaître, de Cheng Tcheng « l'aventureux » et celle, dont on ignore encore l'importance, du peintre Xú Bēihóng, l'une des figures incontournables de la peinture moderne chinoise...