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5 octobre 1944. On évacue, dans le coma, de la prison de Fresnes où il croupit depuis dix-sept jours, celui qui fut le plus admiré, puis le plus haï des industriels français. A-t-on voulu l’assassiner, après l’avoir arrêté pour « trahison » au profit des Allemands ? Il meurt quelques jours plus tard, sans livrer ses secrets, en laissant derrière lui une énigme et une légende. L’énigme, c’est celle de sa mort. La légende, elle, fait de Louis Renault, dès 1918, à quarante et un ans, un « sauveur de la France » aux côtés de Pétain, qu’il retrouvera à Vichy en 1940. Renault, c’est d’abord les taxis de la Marne, les camions qui sauvent les « poilus » de Verdun, c’est l’homme des « chars de la Victoire ». C’est ensuite le puissant « milliardaire » des années vingt et trente, qui subjugue les gouvernements, les banques, et qui vainc son seul vrai rival, Citroën. Renault est celui qui fait les autos des premiers « week-ends », et les blindés du réarmement. Mais Renault, c’est aussi une légende sombre. C’est l’empêcheur de tourner en rond du patronat ; c’est le « seigneur » de Billancourt, l’homme à abattre des Communistes et du Front populaire. Un homme qui serre la main de Hitler en 1939, que les Alliés et la France libre montrent bientôt du doigt au premier rang de la Collaboration franco-allemande des années noires. Grâce aux archives publiques et privées, jusque-là fermées ou ignorées, et aux témoignages des derniers survivants, Emmanuel Chadeau décrypte les légendes, et dresse la première biographie complète et sincère de Louis Renault. Il raconte, jusqu’aux détails de sa mort tragique, les aventures multiples d’un homme, dont la devise fut « vivre, c’est grandir ». D’un homme qui ordonna sa vie autour du faste de ses grands domaines et de sa vie privée, de l’éclat d’entreprises et d’une fortune déployées à l’échelle du monde, et de la passion des amitiés cultivées jusqu’au sommet de l’État et de la politique.