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Jean Bollacks Schriften zu Mallarmé stellen einen Dichter vor, der "schärfer ist, als man ihn liest". Und je radikaler er sich zeigt, umso besser wird verständlich, wie Mallarmé seine Verse geschrieben hat. An diesem wie hängt das Existenzrecht des Menschen nicht weniger als das des Dichters. Bollack bezieht Stellung für beide, indem er aufzeigt, worin die Revolution der poetischen Sprache wirklich bestanden hat: "Die Gewissheit, zu der Mallarmé während seiner Krisennächte in Tournon ab 1865 gelangt, betrifft - neben der Abwesenheit Gottes - die Abwesenheit eines verpflichtenden Bezugssystems, das Werte und Abhängigkeiten festlegt. Alles bleibt also zu tun, und vor dem Hintergrund eines Nichts neu zu tun, alle Worte werden von dieser Warte aus gezeichnet sein, sie werden auf nichts anderes mehr verweisen als auf das, was ihnen neu zu konstruieren gelingt."