Mary Wakefield
Cette fresque familiale canadienne fut l'un des plus grands succès de la littérature nord-américaine, dès la parution en 1927 du premier des seize romans, aussi célèbre que Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell.
Chargé de trouver une gouvernante pour les enfants de son frère Philip vivant au Canada, Ernest Whiteoak engage Mary Wakefield sur sa bonne mine.
C'est en arrivant à Jalna que la jeune fille prend la mesure de son inexpérience mais, si ses élèves ne sont pas des anges faciles à mener, leur père n'a rien non plus du vieux veuf ventru qu'elle imaginait.
A peine Mary commence-t-elle à se rasséréner que le reste de la famille revient d'Europe et s'alarme ; Mary ne répond guère à l'image rébarbative des gouvernantes traditionnelles.
Un complot s'ourdit pour réparer la « gaffe d'Ernest » et faire partir Mary avant que Philip tombe amoureux d'elle. C'est compter trop sur la nonchalance de Philip et pas assez sur son entêtement.
Il s'ensuit une période mouvementée d'une importance capitale pour l'avenir des Whiteoak de Jalna.
« Mary Wakefield » est le troisième épisode de la saga des Whiteoak