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Um an der salzigen Nordseeluft ihr Asthma zu lindern, zog Sandra Lüpkes 1977 nach Juist, aufs »Töwerland«, wo sie im »riesigen Pfarrhaus in der Wilhelmstraße gegenüber vom Komposthaufen des Kirchfriedhofs« ihre Kindheit verbrachte. Mit fünfzehn wechselte sie aufs Festland, doch schon bald brachte die Liebe sie zurück auf die Insel, auf der sie eine Rockband namens Strandgut gründete, eine Ferienpension führte, Mutter, Schriftstellerin und Mitbegründerin eines Stipendiums für Krimiautor*innen wurde, bevor sie Juist erneut verließ. Aus der liebevoll-kritischen Distanz des Berliner Exils berichtet Sandra Lüpkes nun von Bräuchen wie Maibaum-Raub und »Sünnerklaas«, Delikatessen wie »Sniertjebraa« und (hochprozentiger) »Bohntjesopp« und dem Leben in einer Gemeinschaft, in der man während der Hochsaison weder Kinder bekommen noch sterben sollte, wenn man seinen guten Ruf nicht ruinieren will.