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Der Raum, in welchem ich mich befand, war allerdings eine Mönchszelle, er war aber auch das Laboratorium eines Physikers und Chemikers. Franz hatte auch sonst kein Glück gehabt im Leben. Sein sehr geliebtes Weib, sein von ihm vergöttertes Kind waren ihm gestorben. Er sehnte sich nach Ruhe. Er suchte sie, und – in seinen Briefen und auf seinem Gesicht war es geschrieben – hier hatte er sie gefunden. Er halte mir ein paar Zeilen zurückgelassen. Ein paar Zeilen, die nur mich angehen, und etliche Manuskripte, die er – das wusste ich schon von früher her – gern gedruckt hatte sehen wollen. Der eventuelle Erlös daraus sollte Männern zugutekommen, die gleich ihm, ohne Geld und ohne Gönner, sich nicht imstande sahen, ihre Ideen zu verwirklichen; die Honorare sollten den Grundstock zu einer Stiftung bilden, die freilich durch sie allein nicht ins Leben gerissen werden konnte. In den nächsten Tagen las ich seine Manuskripte – da erinnerte ich mich wieder an den humorvollen Ausdruck des blassen Totengesichtes und jetzt verstand ich ihn erst so recht. Hier aber – hier ist einer der Romane, den ein tief gelehrter Mann, ein Mann von warmen Herzen und einer – trotz allem – wieder kindlich froh gewordenen Seele in einsamen Stunden geschrieben – in Stunden, in denen er über die Welt lächelte und über die Menschen, die ihn nicht ernst genommen hatten.