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Was hat Ästhetik mit Natur- und Umweltschutz zu tun? Dieser Frage widmet sich die Autorin in ihrer Studie anhand von Briefmarken. Sie analysiert die Diskussionen zwischen Postministerium und Bevölkerung über die Bedeutung von Natur- und Umweltschutzmotiven und schärft so das Konzept der «eco-images» (Gisela Parak) als «ästhetische Praxis» (Andreas Reckwitz). Dabei arbeitet sie die Bemühungen von Natur- und Umweltaktivist*innen heraus, mittels Bildern eine eigene Sprache zu finden und zu entwickeln, die ihnen Publikum und Gehör verschaffte. Neben Postwertzeichen als Ausgangspunkt thematisiert und verortet die Autorin punktuell auch weitere Darstellungsoptionen wie Logos oder Plakate. Damit geht sie den vielfältigen Geschichten von der ursprünglichen Deutungsoffenheit von Naturdarstellungen über eindeutiger werdende Motivaussagen der aufkommenden eco-images bis hin zu deren Angreif- und Wandelbarkeit nach, aber auch ihrer Kommerzialisierbarkeit.