« C'était ça, Vincennes. Cette irresponsabilité généralisée régnant du haut en bas. Inutile de vous dire qu'à la fin de l'année j'ai dit : 'Chers camarades, chers amis, je vous remets le sceptre de directeur du département, faites-en ce que vous pourrez.' Quelqu'un s'est dévoué. Mais c'était une expérience pittoresque, je ne la regrette pas, finalement. Il y avait tout de même quelque chose d'unique et d'excitant dans cette université. Fa présence de Foucault, de Jean-Pierre Richard, d'Hélène Cixous, etc. J'en oublie. »
« A propos de termes littéraires, il y a un mot que je déteste, c'est 'naturalisme'. Parce que ça me paraît tellement éloigné de ce qu'est la réalité profonde de Zola, et aussi de ce que sont les courants littéraires... Vous disiez que mon nom était accroché au nom de Zola, mais ce qui m'irrite c'est qu'au nom de Zola est aussi accroché le concept de 'naturalisme' [...]. Je l'ai écrit à droite et à gauche ; c'est assez mal vu, d'ailleurs, parce que les gens trouvent qu'il ne faut pas casser ce genre de modèle terminologique sacralisé par les manuels et les dictionnaires. »