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TÔT OU TARD, LA VIE S’EN VA. À PEINE A-T-ON LE DOS TOURNÉ QU’ELLE S’EN EST DÉJÀ PEUT-ÊTRE ALLÉE. IL NOUS FAUT DONC VEILLER SUR LES MORTS, ENTRETENIR LA FLAMME, FAIRE EN SORTE QU’ILS NE SOIENT JAMAIS OUBLIÉS. »
Aux Cahiers du cinéma pendant plus de vingt ans, puis directeur de la Cinémathèque française, Serge Toubiana est un témoin privilégié de l’histoire du cinéma français. Dans On ne connaît du film que la scène des adieux, il revient sur les éloges qu’il a écrits pour ses chers disparus, au fil du temps. Des antidotes à l’oubli dans lesquels on lit toute l’admiration et tout l’amour qu’il a pour ces cinéastes, acteurs et actrices, hommes et femmes de cinéma qu’il a connus pour la plupart personnellement.
Suivant un ordre chronologique dicté par le hasard de la mort, depuis celle déterminante de François Truffaut en 1984, jusqu’à celle de David Lynch, en passant entre autres par Maurice Pialat, Simone Signoret, Orson Welles, Jacques Demy, Michel Piccoli, Claude Chabrol, Jean-Pierre Bacri, Marguerite Duras, Gaspard Ulliel et Tonie Marshall, Serge Toubiana nous offre des textes ciselés et émouvants en hommage aux hommes et femmes qui ont marqué le cinéma et la culture des quarante dernières années.