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À quelques minutes du troisième millénaire et de la grande Europe, la France n'est-elle plus que la capitale de la culture, du luxe et des loisirs ? Destin certes enviable et revendiqué à juste titre. Mais faut-il accepter, pour autant, que soient châtrées définitivement les ambitions séculaires d'un pays, qui s'est toujours épanoui dans la rationalité, la science et la technologie ? Autant admettre, tout de suite, qu'usines, bureaux et quartiers généraux des géants de l'industrie high tech doivent s'installer ailleurs, et que ce n'est plus la peine de former des ingénieurs dans les grandes écoles et les universités. C'est le SICOB, le salon de l'informatique, de la télématique et de la bureautique qui, symbiose unique d'une grand-messe tous publics et d'une manifestation professionnelle, symbolisait la volonté des français d'aller vers un avenir nappé de puces de silicium et d'ordinateurs. Aujourd'hui, le SICOB est mort. Il se meurt. Pire, il est incertain, anodin : une exposition réduite aux acquêts. Ordonnance pour le SICOB est un livre remue-méninges, qui explique pourquoi, quand, où et comment un vrai SICOB doit faire son retour. Les chiffres sont terribles. Une année sans SICOB, c'est un milliard de francs de chiffre d'affaires qui disparaît. Et, hélas pour Paris, de telles absences, il risque d'y en avoir beaucoup dans d'autres secteurs d'activité, si l'on ne tient pas son rang de première place mondiale de rendez-vous professionnels.