Sur sa terrasse, une douce soirée d’été, Mamie-Rose relit les lettres qu’Oscar a écrites à Dieu.
Elle sourit en pensant à ce petit garçon dont elle fut si proche.
« Bonsoir, Mamie-Rose ».
La vieille dame relève la tête : « Oscar ? C’est amusant... Je songeais justement à toi. »
Mamie-Rose vit et échange avec ses souvenirs, plus vivants que jamais. La tendresse entre ces deux-là est infinie, l’un exprimant toute sa colère face à l’injustice de la maladie, l’autre camouflant ses sentiments sous sa brusquerie d’ancienne catcheuse. Bouleversant.