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Pour les Suisses, il n’y a jamais qu’un « Général », ce grade étant réservé au commandant en chef, désigné à l’heure du danger. Le 30 août 1939, l’Assemblée fédérale élisait le « Général » Guisan à une immense majorité et lui confiait la tâche de commander l’armée helvétique pendant la nouvelle guerre mondiale. On sait la confiance, l’attachement et la popularité extraordinaire que le chef vaudois inspira au peuple et à l’armée, du commencement à la fin de sa mission. On sait la fermeté avec laquelle, en 1940, il fit front devant les dangers qui menaçaient le territoire suisse, isolé et encerclé, et la décision, audacieuse et judicieuse, qu’il prit alors, d’installer l’armée fédérale dans un « réduit national » où il la prépara à combattre jusqu’à l’épuisement de ses ressources. On sait enfin à quel degré d’entraînement il haussa, jusqu’au terme des hostilités, la force qui lui était confiée au cœur de l’Europe, et le degré auquel il porta son moral. Voici l’ouvrage qui retrace, au jour le jour, comment le Général Guisan conçut et accomplit sa tâche. Son auteur, Bernard Barbey, n’était pas officier de carrière. Romancier, auteur de « Cœur gros », de « La maladère » et du « Crépuscule du matin », il avait cependant, avec le plus grand nombre de ses camarades de l’armée suisse, deux vocations : la sienne et sa vocation d’officier. Appelé en juin 1940 par le Général aux fonctions de chef de son état-major particulier, le Major, puis Lieutenant-Colonel Barbey fut donc son collaborateur intime et son témoin jusqu’à la fin de la guerre. Ce livre présente les fragments du journal qu’il écrivait pour « faire le point », soir après soir, sans autre prétention que de fixer les faits et les traits, de noter les choses vues et entendues, les impressions du moment. Il est sans doute le plus vivant témoignage de la manière dont la suisse, et sa vigilante armée, passèrent ces cinq années si dramatiques pour le monde entier.