Comme le souligne Pierre Bayard dans
sa préface, si Jean-Michel Delacomptée présente ici La
Princesse de Clèves comme «un roman policier dont
l'auteur se serait volontairement gardé de fournir la
clé», les lecteurs n'ont donc pas fini de s'intéresser à cette
oeuvre, qui ne cessera de se modifier au gré des âges et des
sensibilités.
L'érudition de Jean-Michel Delacomptée,
son audace dans l'analyse et sa liberté de style font
de ce livre une troublante et moderne interrogation
sur ce qu'est la passion.