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Der neue Gedichtband von Ron Winkler beginnt mit einem Abgesang, einer Totalverweigerung, einem Boykott: »nicht mehr teilnehmen (...) nicht mehr Buchstaben zu etwas Aufgesplissenem ordnen. (...) nicht mehr an sich selbst // schreiben. Oder anderen // jene neunzehnsilbigen Kosenamen ins Ohr flüstern, die nackt // machen, wenn man sie sagt.«Um sich im Anschluss umso leidenschaftlicher in Buchstaben und Kosenamen, in »Zahlen und Figuren« zu stürzen. Das jedoch tut er stets mit ironischer Distanz: »ist eine Rose // und also mehr als eine Rose // und also zugleich keine Rose mehr. Nicht mehr. Und auch: nie // mehr: nie mehr // nicht.« Ron Winkler ist bewundert worden für seine »poetische Wandlungsfähigkeit« (Michael Braun). Waren seine letzten beiden Gedichtbände »Fragmentierte Gewässer« und »Frenetische Stille« voller geschichtsphilosophischer Anspielungen und naturlyrische Auskundschaftungen jenseits der Idyllik, wird er nun, ja, zum Minnesänger: »ich machte dir weiter den Hof, die Stirn, ich // machte dir die Wellen«; Winkler erzählt, so mag man Roland Barthes variieren, von der Defragmentierung einer Sprache der Liebe. Da darf Venedig nicht fehlen: Hier bewegen sich ein Ich und ein Du wie träumerisch durch die Stadt und die Begriffe, die mit ihr verwoben sind.